PEA ou assurance vie : quel produit d’épargne choisir ?
Avec la loi PACTE, le gouvernement espère encourager les épargnants à souscrire un contrat d’assurance vie ou un PEA. Qu’il investisse dans un PEA ou dans une assurance vie, le souscripteur bénéficie désormais d’un système plus souple.
Loi PACTE : vers une réforme du système d’assurance vie
Face à l’échec rencontré par les premiers fonds Eurocroissance, le Gouvernement affiche sa volonté de les rendre plus attrayants à travers des réformes et des renforcements, par le biais de la loi PACTE. Considéré comme le troisième pilier de l’assurance vie, le fonds Eurocroissance combine les points forts des supports en unités de compte et ceux des fonds en euros garantis.
La réforme ne touche pas uniquement le fonds Eurocroissance. L’amélioration escomptée aura également des conséquences positives sur le système des assurances vie en consacrant une garantie du capital sur une période de 10 à 30 ans. Sera également introduit un taux unifié pour les souscripteurs (ainsi qu’une facilitation de la gestion) avec une gestion facilitée. Elle sera désormais confiée à la compagnie d’assurance.
En outre, la loi PACTE traduit la volonté étatique de relancer le PEA ou plan d’épargne en actions. Une fois la loi adoptée, il sera possible d’inciter les ménages à participer au développement économique en orientant leurs épargnes vers les PME et les entreprises de taille intermédiaire.
Quelles différences entre PEA et assurance vie ?
Si les deux produits d’épargne sont des placements constitués d’actions, le PEA permet au souscripteur d’engager son capital dans un portefeuille d’actions. Plafonné à 150 000 € de versement, ce placement l’exonère de l’impôt sur le revenu hors prélèvements sociaux à condition que le premier retrait ne soit effectué qu’après 5 ans.
L’assurance vie, qui peut être soit un fonds en euros, une unité de compte ou une combinaison des deux (multisupport) est un contrat permettant le placement d’un capital. Contrairement au PEA, limité à une souscription par personne, le nombre de contrats d’assurance vie pouvant être signée n’est pas limité, ni en son nombre ni en son montant. Toutefois, aucune exonération d’impôts ne sera accordée au souscripteur et le rachat partiel est imposé au prélèvement forfaitaire de 30%.
Plusieurs offres de contrats multisupport chez Altaprofits
Afin que les souscripteurs puissent diversifier leurs investissements, nous avançons deux solutions. Il leur est possible de souscrire à un PEA ou Plan d’Épargne en Action en complément d’une assurance vie.
Titres@Capi PEA de SwissLife Assurance et Patrimoine est le produit sur mesure qui correspond aux attentes des épargnants qui sont à la recherche d’un contrat permettant de combiner le plan d’épargne en action et le contrat de capitalisation. Cette offre haut de gamme est une opportunité pour les investisseurs qui veulent placer leur argent dans des actions européennes (indice SBF 120 incluant le CAC 40, et l’EuroStoxx 50). En plus de cela, ce contrat permet aux souscripteurs de conserver l’antériorité fiscale du PEA en cas de transfert.
Titre@Capi PEA peut être combiné avec Titre@Vie de SwissLife, un contrat qui rapporte jusqu’à 9,6% en gestion pilotée en 2017 et qui s’appuie sur des fonds en unité de compte composé de 151 actions, mais aussi de 340 OPCVM et 1 OPCI. Le souscripteur peut aussi également opter pour Digital Vie de Suravenir qui se distingue par la richesse des supports d’investissements et son accessibilité, grâce à un versement initial à hauteur minimum de 100€.
Enfin, l’épargnant peut opter pour Altaprofits Vie de Generali Vie, qui lui permettra de bénéficier, d’une part, de tarifs réduits dans un cadre fiscal avantageux, et d’autre part, de 2 fonds en euros performants ainsi que des conseils de haut niveau prodigués par des spécialistes.