- CAC 40 23/05/2022 6 358,74 € 1,17 %
- SBF 120 23/05/2022 4 948,14 € 1,14 %
- CAC ALL TRADABLE 23/05/2022 4 853,64 € 1,13 %
- REF EONIA CAPI 22/05/2022 13 741,872 € 0,00 %
IBEX 35 | 20/05/2022 | 8 484,5 pts | 0,93 % |
---|---|---|---|
NIKKEI 225 | 23/05/2022 | 27 001,52 pts | 0,98 % |
AEX-INDEX | 23/05/2022 | 694,02 pts | 1,62 % |
FTSEUROFIRST 80 | 23/05/2022 | 5 145,32 pts | 1,37 % |
NASDAQ 100 | 23/05/2022 | 11 976,97 pts | 1,19 % |
POINT SUR LES MARCHES
Generali Wealth Solutions
LA FED OU COMMENT NE PAS TOMBER DE CHARYBDE EN SCYLLA
En tentant de combattre l’inflation, les Banques centrales vont-elles générer une récession économique mondiale ? C’est la question que se
posent les investisseurs à l’heure où nous écrivons ces lignes, et qui génère une évolution heurtée des marchés financiers. En avril, ces derniers
ont légèrement évolué à la baisse au gré des statistiques économiques, des résultats trimestriels des entreprises et des discours des Banquiers
centraux, tandis que le début du mois de mai présentait un net recul des principales places mondiales.
La Boussole des Marchés
Par Generali Investments
Vues de marchés
- La guerre en Ukraine a accentué deux des principaux risques pour 2022 : la hausse des prix de l’énergie et le durcissement des politiques monétaires des banques centrales.
- Les banques centrales se sont vues attribuer une « mission impossible » : faire baisser les taux d’inflation très élevés, sans provoquer de crise.
- Nos prévisions de croissance étant inférieures au consensus, nous nous attendons à ce que les banques centrales sous-évaluent légèrement les prix fixés par le marché.
- Nous recommandons de réduire la cyclicité des portefeuilles et de se montrer très prudent dans la sélection des actifs risqués. Compte tenu des niveaux de valorisation, il n’y a pas de précipitation à acheter le rebond selon nous.
Les thèmes à surveiller
- L’escalade militaire de la Russie et les sanctions provoquent des perturbations pour l’approvisionnement de gaz en Europe.
- Un retrait plus rapide du soutien des politiques monétaires réduit l’appétit pour le risque et favorise le ralentissement.
- Des mutations du virus menacent l’efficacité des vaccins et provoquent de nouveaux arrêts des chaînes de production
- Les tensions géopolitiques (Chine/Taiwan, Corée du Nord) s’ajoutent aux risques géopolitiques liés à la guerre en Ukraine
Point de Vue Conjoncturel

À première vue, la publication des enquêtes PMI* du mois de mars montrait une bonne résistance de l’activité face à la guerre en Ukraine et à la hausse des cours des matières premières Le PMI composite pour l’ensemble de la zone euro a baissé de 55 4 à 54 5 en estimation préliminaire, alors que le consensus craignait une baisse plus forte à 53 8 Le PMI manufacturier a baissé de 58 2 à 57 0 et le PMI des services de 55 5 à 54 8 des niveaux cohérents avec un bon niveau de croissance
Generali Wealth Solutions
La guerre en Ukraine, sur laquelle nous avons déjà communiqué au sein de notre récent flash spécial a généré un net recul des marchés sur le mois de février. Au-delà du risque extrême, le scénario d’un embrasement généralisé à l’Est ne peut en effet être exclu, l’incertitude est très élevée et la visibilité reste faible.
Au niveau économique, la crise actuelle amène à reconsidérer le scénario de stagflation, situation économique caractérisée par la concomitance d’une croissance plus faible puisqu’impactée par la crise, et une inflation plus élevée et plus persistante qu’attendu du fait du choc subi sur les matières premières.
Gestion Pilotée : la note vocale du gérant ETF Lyxor - Amundi Group
Gestion Pilotée : la note vocale du gérant Pictet AM
Gestion Pilotée : la note vocale du gérant Lazard Frères Gestion
Gestion pilotée : la note vocale du gérant
la financière de l'échiquier
Podcast Édition spéciale Ukraine
Au lendemain de l’invasion russe en Ukraine, Olivier de Berranger, directeur de la gestion d’actifs chez LFDE et Pierre Puybasset, porte parole de la gestion, échangent sur les premières conséquences économiques et géopolitiques de cette crise ainsi que son impact sur notre gestion.
Lazard Frères Gestion
Crise en Ukraine
Paris, le 24 février 2022 – Les forces militaires russes sont entrées aujourd’hui en Ukraine. La concrétisation de ce risque géopolitique donne lieu à un mouvement de repli sur les marchés financiers. Dans ce cadre, Lazard Frères Gestion a mis en place un comité interne de suivi de crise de manière à prendre dès à présent, et dans les jours prochains, les meilleures décisions de gestion.
NOTES DE CONJONCTURE

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Les marchés auraient ils perdu le nord La question se pose alors qu’ils donnent des signaux contradictoires sur l’appréciation des facteurs en présence Au regard du nombre de paramètres à prendre en compte en ce moment, difficile de les blâmer La lisibilité du contexte est loin d’être idéale L’environnement actuel s’apparente à l’univers quantique où le principe d’incertitude règne en maître sur les particules élémentaires

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Les effets de la dernière vague de COVID-19 en Chine étaient manifestement pris en compte dans les données de l'indice des directeurs d'achat (PMI) de mars, l'activité dans le secteur manufacturier comme dans les services se repliant en zone de contraction. L'indice PMI officiel du secteur manufacturier a reculé à 49,5, tandis que les secteurs des services ont été beaucoup plus durement touchés, l'indice PMI du secteur non manufacturier chutant de 51,6 à 48,4.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Alors, un embargo sur le pétrole le gaz le charbon les retombées de la guerre sur les matières premières agricoles russes et ukrainiennes, cela nous fera une note d’inflation encore plus salée La mélasse conjoncturelle actuelle met en évidence une équation assez simple sanctions inflation Pour les économies occidentales surtout européennes engagées financièrement sur le front ukrainien et monétairement sur le front de l’inflation, c’est un peu la logique du chat qui court après sa queue

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Aux États-Unis, le marché du travail reste extrêmement tendu, le taux de chômage s'établissant à seulement 3,6 % aujourd'hui. Cela met en évidence le redressement rapide des emplois pendant les deux années qui se sont écoulées depuis le début de la pandémie. Après la récession de 2008, il a fallu plus de sept ans pour que le taux de chômage renoue avec les niveaux antérieurs à la récession.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Dans d’autres circonstances, l’annonce aurait donné lieu comme dans un film catastrophe à des scènes d’hystérie avec force de cris et de capilotractions. Il n’en fut finalement rien. À l’annonce par la Fed, la semaine passée, de la première hausse de taux - d’une longue série à venir -, les marchés sont restés stoïques comme des ruminants regardant passer la locomotive.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
La Réserve fédérale américaine (Fed) et la Banque d’Angleterre ont toutes deux procédé à un relèvement de 25 points de base de leurs taux la semaine dernière. L’inflation élevée et les marchés du travail tendus semblent indiquer que le resserrement par les banques centrales de leur politique est justifié.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Avant même la réunion de la BCE la semaine dernière, chacun savait que sa présidente était dans une position délicate. Ce qui, dans un sens, donnait à l’exercice un peu plus de sel que d’ordinaire. La situation s’est en effet légèrement compliquée pour Christine Lagarde depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Aux États-Unis, l’inflation s’est hissée à son plus haut niveau depuis 40 ans en février. Compte tenu de l’envolée des cours mondiaux des produits de base sur fond de conflit dramatique entre la Russie et l’Ukraine, l’inflation risque de culminer à un taux plus élevé et de mettre plus de temps à reculer. La hausse des prix qui en découle se fait globalement sentir : après le pétrole et le gaz,

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Dans sa déviance sécuritaire obsessionnelle, Vladimir Poutine a ravivé les braises de la guerre en Europe. En mettant à feu et à sang le territoire de son voisin, il compte comme premières victimes des soldats ainsi que des civils ukrainiens. Mais bien loin du front et des combats, peut-être sans le savoir, l’autocrate du Kremlin en compte d’autres.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Il va être essentiel de surveiller l’impact de l’envolée des prix de l'énergie sur la confiance des consommateurs. Les ménages disposent encore de quelques économies accumulées pendant la pandémie, ce qui leur permettra d’amortir en partie le choc provoqué par les prix de l'énergie. Les États pourraient également prendre des mesures supplémentaires pour atténuer les pressions sur les revenus réels.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Si quelques doutes subsistaient encore la semaine dernière, ils sont désormais levés. Au Donbass, Poutine a bougé, mettant ainsi fin au jeu de dupe diplomatique qu’il entretenait jusqu’alors avec les Occidentaux. Vraisemblablement en manque d’exercice après deux ans de restrictions pandémiques, le chef du Kremlin s’est donc auto-lancé, jeudi dernier, dans une campagne militaro-paranoïaque contre l’Ukraine.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
L’évolution du conflit entre la Russie et l’Ukraine demeure incertaine. Compte tenu du poids de la Russie dans la production mondiale de marchandises, l’exacerbation des tensions s’est traduite par une hausse brutale des prix de l’énergie, des métaux et des produits agricoles de base. Toute perturbation des approvisionnements pourrait être particulièrement lourde de conséquences pour l’Union européenne (UE), sachant qu’environ un quart de ses importations de pétrole brut et 40 % de ses importations de gaz naturel proviennent actuellement de Russie.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Inflation au plus haut depuis quarante ans, taux à tendance ascensionnelle, environnement monétaire bientôt en stress hydrique, moindre croissance après la reprise… Les marchés avaient-ils vraiment besoin d’ajouter à leur -déjà longue - liste de névroses, celle du risque géopolitique ? Pas vraiment. La semaine dernière, pourtant, ils ont convulsé au gré de la guerre des nerfs que se livrent la Russie et les Occidentaux aux frontières de l’Ukraine

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Aux États-Unis, les ventes au détail ont opéré un rebond spectaculaire en janvier. Il s’agit d’un signe encourageant laissant penser que la consommation demeure bien soutenue. La chute des ventes au détail en décembre avait suscité des interrogations quant à la capacité de la consommation américaine à favoriser durablement une croissance économique solide cette année. Si les statistiques d’un seul mois sont insuffisantes pour dissiper totalement cette crainte,

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Comme un immense trou noir, l’inflation et son horizon des évènements monétaires déforment par son champ gravitationnel l’espace temps des marchés depuis plusieurs semaines Rien de surprenant donc à voir, jeudi, les indices boursiers se « spaghettifier » à la lecture du dernier indicateur des prix à la consommation ( ressorti à 7 5 aux États Unis sur janvier contre 7 3 espérés voire graphique Davantage

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Il reste peu de colombes (« doves ») dans les banques centrales. Les marchés tablent à présent sur plusieurs hausses des taux cette année aux États-Unis, au Royaume-Uni et même dans la zone euro. Lors de sa récente réunion, la Banque centrale européenne (BCE) s’est refusée à exclure un relèvement des taux cette année.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
En matière d’inflation et donc de politique monétaire, chacun voit midi à sa porte Et en Europe, il est encore l’heure de ne rien faire, a annoncé la BCE la semaine dernière Une nonchalance qui peut surprendre à l’heure où les banquiers centraux transpirent abondamment à voir le mercure inflationniste grimper aussi sûrement que la température planétaire.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Actuellement, l’inflation globale dépasse 5% au Royaume-Uni et dans la zone euro et 7% aux États-Unis. Cette inflation élevée s’explique en partie par les perturbations des chaînes d’approvisionnement et par la hausse des prix de l’énergie. Si ces problèmes finiront probablement par se résoudre, l’inflation sous-jacente risque de rester supérieure à l’objectif d’une manière plus durable compte tenu des pénuries de main-d’oeuvre,

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
La Réserve fédérale n’a même pas eu la délicatesse de décaler son Comité de politique monétaire Au final, la croissance française d’ampleur chinoise, flashée à 7 en 2021 phénomène que l’on est pas prêt d’observer avant 120 ans est totalement passée inaperçue Malheureusement, la semaine dernière, il n’y en avait que pour la réunion de la Fed.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Le Président de la Réserve fédérale (Fed) Jérôme Powell a surpris en adoptant un ton offensif lors de la conférence de presse de la réunion de janvier de l’institution. Concernant les taux d’intérêt, Powell a confirmé que le décollage semblait prévu pour le mois de mars et a insisté sur le fait que la future trajectoire des taux serait fortement tributaire des statistiques économiques.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
La fête est finie pour les technos La déroute du Nasdaq la semaine passée en dit long sur celle d’un secteur qui prend de plein fouet la normalisation générale actuelle Tout d’abord, celle décrétée par la Fed qui entend ramener au plus vite sa politique sous des cieux plus conventionnels et contrarie certains profils d’entreprises qui profitent à plein de l’ open bar monétaire depuis deux ans

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Au Royaume-Uni, l’inflation pour le mois de décembre a surpris par sa vigueur, l’indice global des prix à la consommation s’établissant à 5,4 % en glissement annuel. Dans l’ensemble, les tensions inflationnistes devraient se relâcher en 2022, sur fond de dissipation de certains des facteurs liés à la réouverture de l’économie. Les questions majeures qui se posent sont de savoir quand et à quel rythme l’inflation reculera et à quel niveau elle se stabilisera.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
La semaine passée sur les marchés a été un condensé de ce que promet l’année qui débute Une boule à neige financière où la quiétude des investisseurs a été secouée façon shaker Contre toute attente, ce n’est pas tant l’inflation, ressortie en décembre à 7 sur un an soit un plus haut depuis 1982 qui a mis en émoi les intervenants que les déclarations de la future vice présidente de la Fed lors de son grand oral au Sénat.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Les données récentes sur le marché du travail et l’inflation aux États-Unis encourageront la Réserve fédérale à accélérer la suppression des mesures de relance monétaire cette année. L’objectif d’inflation de la Fed a manifestement été atteint, l’inflation globale s’établissant à 7 % en glissement annuel à présent.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Cette année, les investisseurs avaient de bonnes raisons de prolonger les festivités de fin d’année Rallye de décembre confiné, fêtes de Noël naso testées, réveillons clusterisés L’opportunité était grande de se rattraper sur les premières séances de 2022 Comme une envie de ne pas refermer la parenthèse enchantée de 2021 De ne pas omnicroniser une reprise qui a encore un trimestre de soutien monétaire devant elle Alors, on a repris quelques petits fours actions Profitant de cette fringale post réveillon, Apple a ainsi franchi pour la première fois de l’histoire les 3 000 milliards de dollars de capitalisation.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
L’année 2021 a été marquée par une surperformance des actifs risqués par rapport aux valeurs refuges, la réouverture des économies ayant été à l’origine d’une reprise de la croissance et de l’inflation. Les pays développés ont bénéficié des campagnes de vaccination les plus poussées et d’une politique monétaire et budgétaire accommodante, d’où les résultats spectaculaires des entreprises.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Ce n'est pas souvent que les banques centrales prennent toutes la parole la même semaine. À l’évidence, il y avait cette année un problème de calendrier. Avec un 25 décembre et un 1er janvier tombant un samedi, la période des fêtes allait être réduite comme un cachemire en machine à 90°C. La semaine passée, c’était donc la bousculade avant la trêve des banquiers, chacun étant pressé de fermer boutique.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Lors de sa dernière réunion, la Réserve fédérale américaine (Fed) a annoncé qu’elle projetait de cesser d’acheter de nouvelles obligations au printemps plutôt qu’à l’été. Cette sortie plus rapide de l’assouplissement quantitatif ouvre la possibilité pour la banque centrale de relever les taux l’an prochain plus tôt qu’elle ne l’avait prévu au départ.Le graphique en nuage de points « dot plot » de la Fed montre à présent que le FOMC table sur trois relèvements des taux en 2022.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
C’est ce qui s’appelle un timing aux petits oignons. Alors que les investisseurs américains étaient déjà en train de soupeser la dinde la plus gaillarde qui allait être enfournée à 200°c pendant 4h le jour de Thanksgiving, tout est allé très vite. Mardi, Joe Biden renouvelait le mandat de Jerome Powell à la tête de la Fed en prenant soin de lui adjoindre Lael Brainard, seule démocrate de l’instance, comme numéro deux

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
La hausse brutale du nombre de cas de COVID-19 fait peser des risques de ralentissement de la croissance européenne durant l’hiver. Heureusement, le nombre de décès est pour le moment bien moindre que lors des vagues précédentes mais l’augmentation rapide du nombre de cas contraint les pouvoirs publics à mettre en place de nouvelles restrictions.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Il flotte comme une odeur de brûlé de l’autre côté de l’Atlantique. Comme un plat qu’on aurait imprudemment laissé sur le feu. La pitance en voie d’intense sur-cuisson, c’est l'inflation. Un euphémisme si l’on sait que l’indice des prix à la consommation (IPC) est ressorti aux États-Unis à 6,2 % en glissement annuel sur octobre - soit la plus forte hausse depuis 31 ans ! - loin d’un consensus une nouvelle fois apathique à 5,8 %.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Aux États-Unis, l’indice des prix à la consommation (IPC) du mois d’octobre montre que la hausse des prix a été la plus rapide enregistrée depuis 1990. L’inflation globale, qui s’établit à 6,2 % en glissement annuel actuellement, est ressortie supérieure aux anticipations. Cela semble indiquer que les pressions inflationnistes s’élargissent, ce qui s’explique par une progression des composantes moins volatiles et par l’impact des pénuries d’approvisionnement sur les prix.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Ni la Fed, ni la BoE, ni l’emploi américain, ni même l’adoption du plan d’infrastructures de Biden par le Congrès ne sauraient occulter LE seul événement de la semaine passée : le CAC 40 a franchi les 7000 points... Un Everest boursier ! Et peu importe si l’indice parisien est le dernier de cordée. Si, avant lui, d’autres ont déjà conquis depuis longtemps de nouveaux sommets de valorisation

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
La semaine dernière, la Réserve fédérale (Fed) et la Banque d'Angleterre (BoE) ont présenté plus de détails sur la manière dont elles entendent normaliser leur politique monétaire. La réunion de la Fed s'est déroulée sans surprise, annonçant qu'elle commencera désormais à réduire ses achats d'actifs, qui devraient se conclure d'ici l'été prochain. La BoE surprend les marchés en maintenant sa politique monétaire.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
L’inflation est supérieure à 3 % aux États-Unis, au Royaume-Uni et dans la zone euro. Les investisseurs, les banques centrales et les entreprises sont préoccupés par l’évolution de l’inflation. Une pénurie d’offre, qui ne s’atténuera peut-être pas dans l’immédiat, et un redressement rapide de la demande ont alimenté l’inflation.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Même avec le remake d’un mauvais scénario vu et revu depuis dix ans, les États Unis sont encore capables de tenir en haleine les marchés La trame était connue Le dénouement aussi Et pourtant, le suspense était encore à son comble la semaine dernière Démocrates et républicains allaient ils être ensevelis par l’effondrement du plafond de la dette.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
À l’approche de l’édition automnale des résultats trimestriels, les investisseurs avaient l’air, la semaine dernière, moins détendus que les précédentes Il faut dire que l’ambiance aux raouts du premier et deuxième trimestres s’apparentait à celle du Festival de Cannes

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Même avec le remake d’un mauvais scénario vu et revu depuis dix ans, les États Unis sont encore capables de tenir en haleine les marchés La trame était connue Le dénouement aussi Et pourtant, le suspense était encore à son comble la semaine dernière Démocrates et républicains allaient ils être ensevelis par l’effondrement du plafond de la dette.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Le Royaume-Uni reste aux prises avec des problèmes d’offre de main-d’œuvre. Le graphique cidessous extrait du nouveau Guide des marchés illustre les difficultés de recrutement rencontrées par les répondants à l’enquête réalisée par des agents de la Banque d’Angleterre. Sous l’effet conjugué de pénuries de main-d’œuvre et de la vigueur de la demande de travailleurs dans le contexte de la réouverture de l’économie, les entreprises peinent à recruter,

PERSPECTIVES ÉCONOMIQUES ET FINANCIÈRES
Dans un contexte où les banques centrales restent très accommodantes et où la vaccination permet de limiter la gravité du variant Delta, nous sommes convaincus que la reprise économique va rester forte et au dessus du potentiel de croissance au cours des prochains trimestres Le rebond de l’activité pose toutefois la question des tensions inflationnistes dans l’appareil productif


Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Après une pandémie mondiale et un point mort économique, avait on vraiment besoin de cela À vrai dire, la question n’attend pas de réponse puisqu’il en est ainsi La flambée des prix de l’énergie est une réalité et vient jeter un voile sombre sur la ligne d’horizon En

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Point de départ d’une pandémie mondiale qui a poussé l’économie planétaire au chômage technique, la Chine serait elle désormais en train d’assombrir l’horizon de reprise La question se pose à la lumière des indicateurs publiés la semaine dernière En

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
À l’inverse des États Unis, l’inflation est un sujet trop sérieux pour être traité à la légère de ce côté ci de l’Atlantique Et les 3 touchés au mois d’août ont vraisemblablement occasionné un vent d’angoisse dans les couloirs de la BCE que Christine Lagarde souhaitait à tout prix apaiser Ainsi, pour rassurer les plus frugaux des gouverneurs pressés de mettre fin à un train de crise particulièrement dispendieux, la

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
À la publication de l’indice des prix à la consommation en Europe la semaine dernière, incrédules, experts et observateurs se pinçaient pour y croire En août, sur un an, l’inflation a atteint les 3 Du plus vu depuis dix ans Sur le Vieux Continent, un tel phénomène appartient à la mythologie ou pourrait relever de la psychédélie conjoncturelle

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Les données de la récente enquête de la National Federation of Independent Business montrent que les petites entreprises aux États-Unis projettent d’augmenter les prix dans le contexte du dynamisme de la demande et des contraintes affectant l’offre.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
La fébrilité des marchés ces dernières semaines en disait long sur l’appréhension grandissante des investisseurs à l’approche du symposium de Jackson Hole Qu’allait annoncer le patron de la Fed au grand raout annuel du gotha des argentiers mondiaux De quelle catégorie était la pentification de la courbe de reprise Était elle de nature à rester en roue libre ou à motiver un changement de braquet Jusqu’à vendredi dernier, la question était entière

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Au Royaume-Uni, les statistiques économiques récentes font apparaître une forte progression de l’activité économique et des embauches. Le taux de chômage sur trois mois a chuté à 4,7 % en juin, le taux sur un mois retombant à 4,4 %, soit un niveau que la Banque d’Angleterre ne prévoyait pas d’atteindre avant le troisième trimestre 2022.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Après des mois marqués par des chiffres élevés, les données semblent indiquer que les tensions inflationnistes sont peut-être finalement en train de culminer aux États-Unis. L’IPC (indice des prix à la consommation) global est ressorti à 5,4 % en glissement annuel sous l’effet des prix élevés des denrées alimentaires mais l’IPC sous-jacent a reculé de 4,5 % à 4,3 %.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Après un très bon début d'année, les titres « value » ont faibli, depuis mai, par rapport aux valeurs de croissance en raison de la baisse des rendements obligataires. Dans notre dernière publication, Les titres « value » sont de retour, mais les valeurs de croissance ne sont pas en reste, nous nous penchons sur les facteurs clés qui, historiquement, ont été nécessaires pour engendrer des périodes de surperformance des titres « value ».

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Au regard de la dégradation de la situation sanitaire depuis quelques semaines en Europe, que pouvait-on attendre de la BCE à l’issue de sa dernière réunion jeudi dernier ? Pas grand-chose, si ce n’est le maintien d’une politique ultra-accommodante à l’heure où le variant delta est en train d’hypothéquer le galbe de la reprise

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Le Royaume-Uni devrait faire l'objet d'une attention inhabituelle de la part des investisseurs mondiaux au cours de cet été. Son économie fera figure de test pour une réouverture complète dans un contexte d’augmentation des cas de Covid-19 alors qu’environ 90 % des adultes ont reçu au moins une dose de vaccin.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Depuis le départ, la crise sanitaire a été inégalitaire profitant aux secteurs - et aux emplois - solubles dans la réalité distanciée aux dépens de ceux qui ne l’étaient pas. Sans être infirmé, ce constat tend aujourd’hui à être nuancé. Le redémarrage de l’activité mondiale offre, en effet, aux calamiteux de la première heure, une revanche sur leur récente infortune.


J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
La Banque d’Angleterre a adopté un ton un peu plus conciliant que prévu lors de sa réunion de juin. Malgré une inflation plus élevée qu’escomptée dernièrement, elle s’attend toujours à ce que cela soit transitoire. Depuis la dernière réunion de la Banque en mai, l’activité a continué à se redresser fortement et l’inflation globale a atteint 2,1 % en glissement annuel en mai.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Tant d’indicateurs positifs pourraient presque nous faire douter du sujet d’étude. S’agit-il bien de l’Europe ? Ce Vieux continent dont la croissance est habituellement si frêle qu’elle se meut parfois à l’aide d’un déambulateur ? C’est, en effet, bien de la zone euro qu’ont été publiés la semaine dernière des PMI tout droit sortis d’un roman de science-fiction.

CARMIGNAC - risk managers
ENVIRONNEMENT DE MARCHÉ
Les marchés ont entamé l’année stimulés par les espoirs de redémarrage de l’économie grâce au déploiement des vaccins, aux politiques plus qu’accommodantes des banques centrales et à un soutien budgétaire massif. Cette toile de fond a entraîné un rebond du marché des actions impulsé par les titres « value », et la pire performance du marché des bons du Trésor américain depuis 1980, en baisse de 4,6 %.

CARMIGNAC - risk managers
LE BILLET VERT POURRAIT PERDRE DE SON ÉCLAT
Après avoir connu un cycle d’appréciation pluriannuel, le dollar s’est trouvé confronté à un nombre grandissant de facteurs qui pourraient bien le faire passer de l’autre côté du point de bascule. À ce titre les mouvements de marché des huit dernières semaines méritent que l’on s’y attarde.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
En tenant un discours étonnamment offensif, la Réserve fédérale (Fed) a modifié ses anticipations concernant les futurs taux directeurs lors de sa réunion de juin 2021. Les membres de la Fed anticipent à présent en moyenne deux relèvements des taux d’ici à fin 2023. En outre, comme 7 des 18 membres sont favorables à une hausse des taux en 2022,

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Infantilisés par des politiques accommodantes offrant depuis un an des liquidités comme des bonbons à une kermesse scolaire, il fallait bien préparer les marchés à la fin de la récré monétaire Prenant donc à contre pied un auditoire déjà tourné vers Jackson Hole la Fed a abandonné la semaine dernière le ton bienveillant dont elle usait jusqu’alors pour en adopter un plus abrupt.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Dans le cadre de la réouverture de l’économie des États-Unis, la demande de main-d’œuvre se redresse très fortement, comme l’illustre l’augmentation sensible des offres d’emploi. Les entreprises font aussi état de leurs difficultés à pourvoir l’ensemble de ces emplois vacants

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
En matière d’inflation, il y avait les phobiques, les sceptiques ... Désormais, il faudra aussi compter sur les zens. Une espèce d’investisseur caractérisée par une inhabituelle placidité face à la perspective d’une surchauffe inflationniste. Et, son apparition peut officiellement être datée de la semaine dernière

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Les prix des quotas d’émission de CO2 dans le système d’échange de quotas d’émission de l’Union européenne (SEQE de l’UE) se sont envolés pour atteindre des niveaux record. Si la récente hausse peut en partie s’expliquer par la vigueur de la demande de quotas d’émission alors que les entreprises répondent à une demande croissante, les interventions des autorités de contrôle jouent aussi un rôle

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
À sept, les réunions de famille sont plus sympas Surtout du côté de la branche occidentale Il y a une telle connivence Parfois, on peut même en arriver à des décisions historiques Comme en fin de semaine à Londres où les argentiers du G 7 se sont entendus sur le principe d’un taux mondial d’imposition d’au moins 15 sur les sociétés

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Il va falloir mettre les mains dans le cambouis... C’est, en substance, le message adressé la semaine dernière aux compagnies pétrolières. À la différence des dinosaures, les majors sont désormais prévenues de ce qui pourrait causer leur extinction : leur inaction. Le ciel est en effet tombé sur la tête de quelques mastodontes du secteur, pointés du doigt pour leur mauvaise volonté à entrer dans la bataille contre le réchauffement climatique.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Au cours de l’année écoulée, la Chine est apparue comme le premier grand pays dont l’économie s’est redressée après la pandémie.La Chine fait aujourd’hui figure de précurseur en matière de normalisation de la politique économique. L’impulsion du crédit (credit impulse), à savoir l’évolution du volume de crédit dans l’économie..

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Après un démarrage relativement lent, les taux de vaccination ont progressé en Europe au cours des derniers mois. Les principaux pays européens vaccinent désormais environ 0,8 % de leur population chaque jour, ce qui correspond à la situation actuelle au Royaume-Uni et devance celle des États-Unis, qui s’essouffle depuis quelques semaines. À ce rythme, 70 % de leurs populations pourraient recevoir au moins une dose de vaccin d’ici la fin du mois de juillet.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Plus dure serait la chute. Depuis son décollage du seuil des 20 000 dollars, c’est un peu l’idée qui a accompagné l’envolée lyrique du Bitcoin jusqu’à ses plus hauts autour de 64 000 dollars. Le ballon d’anniversaire a vu gonfler son ambition jusqu’à se prendre pour une montgolfière … Avant d’être laissé à son sort la semaine dernière.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Une remontée de l’inflation aux États-Unis a été bien annoncée mais la hausse de 4,2 % en glissement annuel de l’indice des prix à la consommation des États-Unis en avril a tout de même été spectaculaire. Cette progression s’explique pour l’essentiel par l’ampleur de la baisse des prix l’an dernier, un net rebond étant toujours probable.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Si la parole est d’argent, le silence peut parfois se révéler d’or … Particulièrement en matière de communication monétaire. Car, à l’évidence, l’incartade de Janet Yellen sur la nécessité d’une hausse des taux en cas de surchauffe inflationniste n’a pas manqué de tournebouler les marchés spasmophiles.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Les marchés et les économistes ont bien annoncé la progression de la croissance économique et de l’inflation aux États-Unis mais l’incertitude subsiste quant à la persistance de ces hausses. Une campagne de vaccination réussie permet une réouverture de l’économie. Dans le contexte de l’excédent d’épargne des ménages et de la relance budgétaire, de nombreux facteurs sont susceptibles d’alimenter un rebond spectaculaire de la consommation.

Fidelity INTERNATIONAL
Revue macroéconomique
Si les arbres ne grimpent pas jusqu’au ciel, les indices boursiers pourraient bien y parvenir. C’est, en tout cas, le sentiment qui prévaut au terme d’une semaine marquée par un déluge de records. S&P 500, Dow Jones, Stoxx 600, Dax ou encore MSCI World ont tous accroché de nouveaux sommets de valorisation. En retrouvant ses niveaux de février 2000, le CAC 40 semble pour sa part plongé dans un bain de jouvence aux sels de “nouvelle économie”,de “bulle internet”

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Les engagements à atteindre le zéro émission nette font la une de l’actualité, après la récente promesse du Président Joe Biden de réduire de moitié les émissions de gaz à effet de serre des États-Unis d’ici à 2030. Au total, 58 pays, qui représentent 54 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, ont communiqué un objectif de zéro émission nette. De nouvelles annonces sont par ailleurs attendues avant la COP26 en novembre.

J.P.Morgan
Synthèse hebdomadaire
Les entreprises américaines semblent être appelées à prendre une décision délicate ces prochains mois : seront-elles contraintes d’augmenter les salaires ? Les goulets d’étranglement au niveau de l’offre font grimper le coût de leurs moyens de production.

CARMIGNAC - risk managers
ÉQUILIBRE INSTABLE
La problématique qui relie marchés actions et taux d’intérêt étant établie (voir notre Note de mars « Comprendre l’enjeu de la hausse des taux d’intérêt pour les marchés »), il s’agit maintenant d’en anticiper l’évolution. L’observation des informations nouvelles fournies par le mois de mars confirme pour l’instant le risque d’un scénario de dérapage supplémentaire des taux obligataires, et donc d’une nouvelle période de volatilité correspondante des marchés actions.

CARMIGNAC - risk managers
Cinq choses à savoir sur Carmignac Emergents
1. Notre fonds actions marchés émergents long only emblématique, qui associe notre expérience de plus de 30 ans sur les marchés émergents à nos compétences en matière d’investissement responsable. 2. Une approche d’investissement sélective à forte conviction (50 titres en portefeuille, part active de 84 %1) axée sur les gagnants de la révolution digitale et les bénéficiaires des tendances démographiques à long terme des pays émergents. 3. 5 ans d’historique de performance avec Xavier Hovasse en qualité de gérant principal du fonds, récemment rejoint par Haiyan Li Labbé, tous deux ayant plus de 20 ans d'expérience sur les marchés émergents. 4. Un fonds socialement responsable classé selon l'article 82 du SFDR, et accrédité par deux labels : le label français « Label ISR » en janvier 2019; et le label belge « Towards Sustainability » en février 20203 . 5. Une solide résistance aux marchés baissiers : le Fonds se situe dans le 1er quartile pour ses performances ajustées du risque par rapport à son indicateur de référence et à ses pairs sur 1 an, 3 ans et 5 ans..

CARMIGNAC - risk managers
L'influence croissante des marchés émergents
Depuis le début des années 1980, les marchés émergents ont évolué plus rapidement que tout autre univers d'investissement. La hausse du niveau de vie, l’expansion de la classe moyenne, l’ouverture des marchés financiers, l’évolution des habitudes de consommation et l’urbanisation sont quelques-unes des nombreuses caractéristiques qui font des marchés émergents un terrain fertile pour les investisseurs en quête de croissance.

Perspectives - Avril 2021 - Allocation d'Actifs
Perspectives - Avril 2021 - Allocation d'Actifs
Nous restons nettement surpondérés sur les actions dans un contexte d’accélération de la reprise économique mondiale et de progression des campagnes de vaccination à travers le monde Par ailleurs, le plan de dépenses d’infrastructures de plus de 2000 milliards de dollars annoncé aux Etats Unis devrait avoir un impact positif à long terme sur la croissance potentielle et accroître l’attractivité de la zone En Europe, où les chiffres d’activité manufacturière atteignent des niveaux records, les pressions s’accentuent pour aller plus loin dans la réponse budgétaire, soutenues par une Banque centrale européenne résolument accommodante Nous avons ainsi relevé nos expositions à ces deux zones géographiques, ainsi qu’aux Emergents, en particulier hors Asie, où la situation sanitaire s’améliore enfin et qui bénéficieront de l’accélération de la reprise dans les grandes zones économiques

PICTET
Baromètre des marchés financiers, perspectives d'investissement en février
Les programmes de vaccination s’accélèrent dans le monde entier et les perspectives économiques s’éclaircissent elles aussi, renforcées par des mesures de relance budgétaire supplémentaires. Nous continuons donc à surpondérer les actions, avec une orientation en faveur des pays et des secteurs les plus exposés à la reprise économique.
IBEX 35 | 20/05/2022 | 8 484,5 pts | 0,93 % |
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NIKKEI 225 | 23/05/2022 | 27 001,52 pts | 0,98 % |
AEX-INDEX | 23/05/2022 | 694,02 pts | 1,62 % |
FTSEUROFIRST 80 | 23/05/2022 | 5 145,32 pts | 1,37 % |
NASDAQ 100 | 23/05/2022 | 11 976,97 pts | 1,19 % |